Tu as tord de me considérer comme la der' des der',
Je suis, que tu l'approuve ou non,
La plus grande Déesse qui soit,
Et si tu n'est pas de mon avis,
Ais conscience de ma colère.

Le disque lunaire avais déjà entamé le quart de sa course nuptiale à travers les étoiles. Sa blancheur éclatante réfléchissait le sol tel des rayons de lumières, éclairant de son halo blanchâtre le demeure des Dieux. La noirceur épaississait le monde, le rendant infecte et pollué. Tandis que ce lui, qui plus est des plus noir, ne semblait pas être l'origine de telle catastrophe. Bien au contraire, ces montagnes isolée à la couleurs de l'ébène, semblait innofensive, portant en elle même une âme de guerrière que peu de gens n'aurait la courage de surmonter. Ne serait que la montée jusqu'en ces lieux était une partie d'horreur. Mais contrairement à d'autre, une âme s'y était aventurée, non peureuse et courageuse, prête à défier milles dangers bien qu'elle ne soit pas tout à fait habituée à son corps nouveaux. Ce n'était qu'une jument, une paintabian, d'une splendide couleurs pie qui contrastait parfaitement l'endroit sur lequel elle se trouvait. Et contrairement à d'autre, l'unique forme de vie en ces lieux, semblait n'avoir aucun problême, avoir une conscience tranquille. Néanmoins, peu se doutait que sous ses allures de princesse douce et généreuse, se cachait un être narcissique, hautain et créteur de trouble, n'ayant qu'un but dans la vie ; Emmerder le peuple. Un but qu'elle avait considérabement atteind depuis de nombreuse années et qu'elle tentait de nouveaux en cet endroit des plus amical à ses yeux.

D'un pas majestueux mais saccadé, s'avançait une subtile déesse, abordant sa plus belle robe tricolore. Cet endroit majestueux et éffrayant semblait être son palais, qu'elle arpentait avec délice, innovant sa première demeure. Noire comme les enfer, saupoudré d'une blancheur rappelant les nuages. Il n'y avait rien de tel pour se trouver en lieux sûr, tranquille. L'agréable panorama que présentait ces lieux était un privilège, des pans entier de nuages gris-noir sous l'effet de la nuit, s'écoulait quelques mètres plus bas. Elle ne se trouvait pas au sommet même deces rocheuses, un poil plus bas, arpentant un sentier destinée à sa majestée. La seul chose qui aurait pu la dérangée aurait été de voir une jument pleunicharde sur son passage, quoique, elle l'aurait fait d'autant plus souffrir. Celà aurait été drôle. Malheureusement la demoiselle se trouvait en compagnie de roches, de nuages et d'un astre lumineux. Rien de bien intérressant jusqu'alors.

Un physique d'or cache le plus sombre des coeurs de pierre,
Impossible à détruire, à briser, morfondeuse d'âme.
La sensibilitée n'existe pas, n'est un sentiment rénie, assigné au plus faible.
Ne t'approche pas, ne t'interpose pas, Ne me cherche pas,
Ou la seule chose que tu réussirais, c'est t'attirer les pires ennuis.

Le disque lunaire éclairait avec toujours la même intensitée les montagnes. La jument avançait de façon à ce que la Lune l'entoure, elle, dans son halo blanc et protecteur. Ainsi on croirait une personne sur une scène de théatre, suivie par les projecteurs ardents la poursuivant.Divinitée ensorcelleuse, abordant le plus beaux et naturel des palais assombris par le temps et la guerre. Devant un panorama si majestueux, pas une âme n'aurait résister à la tentation de faire un tour sur ces montagnes aussi dangereuses soient-elles.
L'âme de a Paintabian n'était faite que de pierre, brute et à la duretée incommensurable. Seul l'intérieur de se rocher était doux et sympathique, pour arriver à le pénétrer il faudra un bon nomdre de temps. Ce n'est pas un nouvel habitant qui réussira à se glisser entre les petites failles enroullés, encastrées dans la roche pure. Inpénétrable, Insensible, réniant la sensibilitée, l'amour, et tout ce qui avait pu être joyeux. Attirant à ses côtés les morfondeurs d'âme, les souffrances qu'elle contemplait avec délice. L'apparence n'a rien à voir avec le caractère. Bien que sous des air de princesse se cache une sauvageonne née. Qui aurait pu le penser ? Encastrée dans un corps qu'elle ne contrôlait pasn rendant ses actes plus difficiles que jamais. Seul sa voix pouvait encore et réellement laisser répandre le doute et la tristesse.

Chelsea Smile s'était stoppée, au beaux milieu d'un col. Une odeur étrange dont elle n'avais pas encore fait l'acquisiton lui était parvenue. Mais le doute ou les questions ne parvenaient à franchir les failles de sa pierre. A l'horizon, se pointa une jument. Son allure montrait bien qu'elle ne lui ferrait pas de mal, qu'elle était faible. Faible d'esprit. Un sourire ironique se pointa sur les lèvres sombre de la jument pie. Ses oreilles se penchèrent automatiquement vers l'arrière bien qu'elle ne ressentait encore aucune haine à son égard. Paint palomino, ce fut la couleurs qu'elle apercevoir grâce à son astre la suivant. Chelsea s'amusa à cabrer à demi ; en voyant la réaction de la jument inconnue, elle serait automatiquement son état d'esprit et si elel était réellement aussi sensible que la Paintabian le pensait.

Je t'avais pourtant mise en garde,
Pourquoi risque tu ta vie ainsi ?
Alors que tu pourrais exceller ailleurs ?
Tu n'est plus que ma prisonnière,
Je te ferrais souffrir jusqu'à ce que la mort nous sépare.

L'inconnue s'en fichait guère de ce que pouvait penser une narcissique t'elle qu'elle. . S'avançant paisiblement avec une curiositée qui n'intérressait pas la jument pie baie. Ne dit-on pas que la curiositée est un vilain défault ?! Tant pis pourtant brave petite sotte. Tu aurais du écouter mes conseils. Tant pis pour toi, tu ne seras qu'une ombre parmi celles que j'ai déjà créé.
Elle s'approchait trop, trop au goût de Chelsea Smile qui n'avait aucune envie de se trouver nez à nez avec cette jument pie palomino. Cette dernière causait à tout vas, s'injuriant elle même car ses répliques de mauvaises augures lui serait rapidement et sèchement retransmises. Comme les plus banales, elle pensait que la déesse désirait l'éffrayée et la faire fuir à tout jambe. Celà aurait été drôle avec une pinçée de larmes en plus mais malheureusement, celles-ci ne figuraient pas sur la liste. La paintabian n'eu aucun mal à discerner le font de la personnalitée de la nouvelle venue. Quoiqu'il en soit, elle s'amusa à répliquer sèchement et ironiquement. De son air le plus provocateur possible.

« Premièrement, tutoyer les inconnu est un signe de faiblesse. Vous êtes littéralement incapable de vous présentée dignement. Deuxièmement je n'avais pas l'intention d'éffrayer qui que ce soit et encore moins une sotte dans votre genre. Ne croyez vous pas que j'avais devinée que mademoiselle désirait faire son intérressante ? Passons. Les légendes et les contes de fées ne font pas partit de mon répertoires. Si la grande gamine que vous êtes à gardée son âme d'enfant que voulez vous que j'y fasse ? Croire à des sottises pareilles vous mène droit à être facilement désorientée par les propos des plus extravagant. Petite naïve. »

Chelsea Smile avait finit son petit discours; Abordant un sourire sadique et ironique. Emmerdeuse de son peuple et fière de l'être. Ne tentez pas de vous mettre dans son passage, le résultat ne serais qu'un brun de souffrance. Certes, certains s'énerveraient, ceux-ci sont faibles, impossibles de créer une phrase, une répliuqe du tac au tac. D'autre aurait laissé dire, tellement ingrat et dissuasif. L'action n'était pas encore venue en ces terres. Chelsea contait bien semer la zizanie chez ces pauvres naïfs.