Un étalon marchait dans la nuit, les yeux mi-clos. Son encolure était déjà recouverte d'une fine couche de sueur, tellement l'étalon avait marcher. Un tressaillement le parcouru, et Black ouvrit de grand yeux affolée. Une odeur envahit ses naseaux, qu'il pinçait avec mélancolie. L'étalon piaffa, exiter par les chaleurs,Aucune juments en vue, et le noir se sentit soudain seul. Il poussa un petit hennisement, presque silencieux, qui indiquait toute cette haine et cette fierté invisible, qui tronait en lui.