Rencontre anonyme. ( Hannibal prioritairement )

Wednes' passant par là s'était arrêtée afin de se raffraîchir et de se réhydrater.
Des chutes phénoménales de plusieurs mètres de haut se jetaient dans un bassin, servant de récipiant à ses eaux fraîches et linpides.
La jument s'approcha du bassin et baissa violement la tête, absorbant plus de 3 litres d'eau.
Relevant la tête, observant les alentours, elle mit un premier membre dans l'eau...
Puis un deuxième, puis un troisième, et enfin un quatrième.
Wednes' en profita pour se détendre et apprécier le magnifique spectacle qui s'offrait à elle.

Pendant ce temps...

Le vent cétait mit a frodonner une douce melodie, un sifflement, egal a ce même bruit, ou du moins presque, qui l'avait jadis raillée, agressée, poussée dans ses derniers retranchement, qui lui avait ouvert l'esprit au sein des tenebres. L'âpreté metallique de cette voix qui avait perdu l'habitude de s'élever resonnait encore dans ses cauchemars.
Qu'est-ce qui peut encore nous paraitre choquant, endurcis comme nous le sommes par l'étalage incessant de l'impudeur et de la vulgarité ? Voilà une question pleine d'enseignement. Ou encore : qu'est-ce qui est encore capable de venir frapper la molle carapace de notre conscience malleable avec assez de force pour veiller notre attention ? Ici il y avait alors un exemple «Instruments de tortures et d'atrocités» qu'était Lecter.
Les crins d'hannibal Lecter étaient ramassé en des dredlocks fines qui reposaient sur le couvercle du poumon artificiel dans lequel son torse est emprisonné. Il aspira une nouvelle bouffée d'oxygene. La machine à tuer repris sa marche funebre en direction des chutes histoire de s'y deshalterer un peu. Il était essouflé du grand galop qu'il venait de s'offrir et son corps musclé, imposant, brillait de sueur, mais était aussi completement salis de sang veilli et de boue sechée. Il deploya chacun de ses muscles avec une tel assurance qu'il en defia le jour. Des bruit de pas s'approchaient doucement de là jument, ceux d'Hannibal Lecter. L'atmosphere immobile recele une odeur de vélin, de parchemin et de chandelle eteinte, peut etre était-ce juste une impression. Un craquement de bois resonna dans les chutes, il approchait. Ses yeux avaient des reflets rougeatres, certes, mais ils ne brillainet pas comme des braises dans la nuit. Il était comme «l'Ange de la Mort» de couleur clair qu'il en aurait presque put etre pur, mais au fond combien savent qu'il est mauvais et ses airs maléfiques le trahissent. Il continua d'avançer, faisant le plus discretement possible. Seulf le sifflement de son poumon d'acier se faisiat attendre.

Wed', qui heureusement, avait l'oreille fine, se retourna. Voyant cette terreur se rapprocher d'elle, elle lui fit face et nagea en direction de l'étalon aussi gris qu'un ciel hivernal... Pommelée... Terne... Comme elle. La jument n'ayant peur de quiconque, vaillante, ne s'arrêtait pas, marchait toujours en sa direction. Il aurait bien fallut que l'un d'entre eux s'arrête, sinon il se serait entre-choqués... Mais elle continua et quelques mots, sans crainte, ni reproches se firent entendre. Ses cordes vocales vibrairent et...

- Bonjour, vous avez un nom ? -

Finalement elle s'arrêta, et sourit chaleureusement. L'étalon n'avait pas l'air de très bonne humeur... Mais elle tenterait le coup ! Tant pis si son humeur était défavorable, elle continurait la parlotte. Et dieu sait que cette jument était plutôt bavarde mais triste.

Mais riien ne venait à bout de Lecter. L'esprit du mal était gravé sur sa face, il n'était que nuisance depuis sa naissance, un cheval de malheur. Un cheval maudit,un cheval proscrit. Il est une veritable incarnation du mal. Il fascine, il passione... Est-ce par sa cruauté? Son arrogance, son cynisme?Est-ce par son intelligence incroyable, sa capacité à lire les autres? Est-ce par son impitoyble caractère qu'il séduit? Ou est-ce parce qu'il fait resurgir votre côté obscurs, vos démons, vos instincts diaboliques? Il est seulement affamé de vengeance, déjà raffiné dans l'exécution de ses desseins. Un cri terrible sorti du néant, s'affalant sur le sol du vide noir, Ce n'était autre que le grondement de lecter qui exprimait son mecontentement. Qui était elle ? Oser s'approcher ainsi de ce Cannibal...En effet il en fallait du courage et de l'entetement pour venir affronter la bête. l'affreuse langue de l'étalon était sortit venant faire couler un leger filer de bave qui vint s'eclater sur le sol humide. Il regarda fixement cette petite imprudente, de son regard menaçant et plutôt inquietant. Le silence plombé depuis son arrivée comme s'il n'y avait pas eu un souffle d'air. Il avança lui aussi, ne s'arretant pas. Voulait elle se defier à lui ? Alors se serrait avec plaisir...En effet lecter ne connaissait aucun autre contact apars physique, le combat. Il plaqua aussitot ses oreilles et ses dents jaunis étaient prete a croquer dans de la chair fraiche. Puis il aspira une grande bouffée d'air qu'il ammena directement a ses poumons d'acier qui sifflottaient doucement a chaque mouvement respiratoire. Dans les veines de Lecter coule un poison, oui, la haine. Le sang venant irriguer son cerveau se foncit, laissant monter l'excitation. Il cherchait en même temps l'endroit où il lui couperait les jarrets si un quelconque combat se declanchait en voyant que celle-ci. Tandis que ses pensées oscillaient entre haine et desespoir, desespoir et haine, l'étalon continua de soutenir d'un noir regard celui de la jument. Les papilles gustatives du mâle continuaient de crier famine alors que celui-ci avançait à petit pas vers la charmante. Ses denst jaunis se decouvrirent et on put alors sentir cette odeur noseabonde que degageait son haleine. Il agita sa machoire dans le vide, comme pour intimider la jument qu'il lui était inconnue. c'ets alors que ces simple paroles vinrent effleurer les oreilles déchirée du mâle mais il n'y preta guere attention et n'y reponda pas, du moin pas pour le moment.

La jument n'avait pas peur. Osant un simple regard de défi, elle releva son antérieur gauche et le replongea vivement dans l'eau, qui explosa en un bruit sourd mêlé à celui de la cascade. Ne voulant le défier mais simplement parler, s'ébrouant, ne prêtant plus une très grande attention à l'étalon... Avait-elle tord d'ignorer un si puissant étalon, qui d'un coup de marchoire vous arrachaient la peau ? Pourtant, Wed', elle, le fit. Ne cherchant pas le désastre, le scandale, elle nagea plus loin vers les chutes, l'ignorant, sans peur qu'il l'attaque par derrière. Wednesday avait l'esprit de compétition, mais peut-être pas à se point là. Qui sait ? Dévoilerait-elle cette facette d'elle même, qui l'intriguait pas même plus que les autres de son espèce. La jument grisâtre insista. D'un air interrogateur et impatient, elle demandait toujours dos à l'étalon inconnu.

- Bon alors ses mots ça vient ? Moi c'est Wednesday. -

Ne se doutant pas du danger quelle courrait, cette petit insolente le regrèterait sûrement, mais elle lui ferait savoir qu'ici, personne ne fais la loi, pas même elle !

Maiis Lecter ne cherchait pas à faire la loi, Non biien au contraire, il fallait juste savoir qu'il ne vivait que pour le mal et que riien ne tournait rond dans sa petite tête ingrate. En plus d'etre dangereux, il était fou, voilà pourquoi il fallait se mefier de lui. Le mâle regarda la jument de son regard sarcastique, en effet elle était de dos, mais Hannibal n'attaquait jamais ces adversaire de dos, non c'était bien plus amusant de voir cette angoisse dans leur regard, de les pousser dans leur dernier retranchements, attaquer son concurants alors qu'il vous tourne le dos n'ets autre qu'un manque de courage. L'animal a la robe dechirée avait ralenti sa demarche saquadée, mais il continua de se diriger vers Elle. d'un coup il se mit a reaccelerer, pour venir se poster nez à nez avec la gonselle. Ce n'est que le temps de trois lentes respirations du poumon d'acier que Lecter vint choper de ses dents de carnassier le naseaux de la Belle. Il serra de sorte a ce qu'elle sente un leger piquottement lui remonter les cavités nasales. Il continua de serrer de ses dents tranchantes, à present un petit filet rougeatre coula le long du bout du nez de la jument, laissant un delicieux gout amere dans la bouche d'Hannibal. Tout en maintenant le naseaux dans sa bouche, Lecter prononça alors ces quelques mots, comme le voulait Wednesday.

- Hannibal Lecter, Trés chère...

L'obscurité lourde de menaces s'insinuait dans ses veines et venait accelerer son poul. Mais il relacha la jument, gardant ce gout fort appetissant dans sa bouche. Il ne bougea plus, laissant son regard venir penetrer avec froideur celui de la femelle. Ses dents de couleur mi-jaune de crasse, et mi-rouge de sang étaient restées decouvertes. Il ecoutait continuellement sa respiration saquadée, que son poumon artificiel faisait aller irrégulierement. Le vent soufflait de plus en plus fort. Il soufflait sur la terre une poussiere qui semblait venir du fond des âges. Son corps était poisseux et mouillé de transpiration.

Wednesday sourit narquoisement et s'extirpa des griffes de son adversaire laissant derrière elle une profonde morsure sur la joue de l'étalon. Mais enfin, elle était finalement parvenue à lui faire dire quelques mots ! C'était déjà ça. Franchement, il ne fallait pas croire qu'elle ne le ferait pas regretter de l'avoir maltraîtée. Et d'ailleurs la blessure infligée à l'étalon prénommé Hannibal Lecter, n'était que le commencement. Wednesday ne voulait pas se battre, cherchait-il vraiment la baguarre ou n'était-ce qu'un jeu pour lui ? Non elle ne se battrait pas ! Voulait-il quelque chose en particulier ? Ca mort ? Il pouvait toujours courir !

- Enchantée, répliqua-t-elle sur un ton de défi, que cherchez vous au juste ? Si je puis bien évidement vous aider ? -

Restant sur ses arrières, la jument sourit malicieusement, et se dirigea vers les Chutes. Elle plongea, et se retrouva derrière la cascade, dans une grotte, dans la pénombre. L'échos des Chutes se répercutait sur les parois, et un clapotis se faisait entendre. Elle attendit l'étalon, et une réponse.

Lorsque celle-ci vint lui planter ses dents dans sa joue, il sentit un leger piquottement, rien de trés mechant, térs peu a vrai dire. Mais il ne repliqua pas, se contenta de soutenir son regard, la defiant. Hélas pour une fois il ne voulait pas sa mort, Non. Se battre cela aurait était avec plaisir, il était tellement fort de ce petit jeu là qu'il en creverais si il le fallait. Bref. c'ets vrai qu'elle avait reussi a faire sortir quelques mots a lecter ce qui n'était guere facile. Il ne cherchait pas forcement la baguarre même si il ne serrait pas contre, et cette façon de faire n'était pas non plus un Jeu, juste sa façon d'etre, c'était Hannibal Lecter rien de plus. Il cherchait l'endroit où il lui couperait les jarrets si un quelconque combat se declanchait en entendant que celle-ci lui parler sur un tel ton. L'excitation d'un eventuel combat traversa l'esprit de l'animal et le mit comme en transe, il en bavait presque. Il ne reponda pas à la jument. Non. Il commença alors a tourner en rond autour d'elle ne la lachant jamais du regard, Jamais. Cette ronde macabre qui s'accordait a mevreille avec l'atmosphere qui reignait entre les deux équidés. Si cette simple approche de Lecter en pinçant le naseaux de son adversaire était comme une maltraitance, alors la charmante n'était pas au bout de ses surprises, car en effet, ceux qui le connaisse, ou du moin croit le connaitre en ont l'habitude, ouii c'est peut etre bien, en quelques sorte sa façon à lui de dire bonjour. Lorsque la jument decida de s'eclipser vers la grotte que cachait la cascade, Lecter pensa tout d'abbord qu'elle prenait la fuite. Mais lorsqu'il vit que celle ci l'attendait il compris que Non. Il se mordilla sa levre inferieur et se fit saigner, ce sang amer qui venait doucement ce deverser sur sa langue. Son corps était mutilé de partout. Il n'entra pas desuite dans la grotte, preferant attendre encore un petit moment, histoire de déceler ce qu'elle mijotter. Il piettinna avec nervosité et impatience le sol.

Wednesday passa sa fine tête entre les eaux s'abbatant dans le bassin et fit signe à l'étalon de rentrer. ( C'est réaliste ou pas ? Parce que vu la force que les chutes du Niagara ont c'est zarbi nan ? J'éditerais si tu préfère. ) Elle lui sourit à travers le rideau qui les séparaient et retourna vers le milieu de la grotte. Sa blessure lui faisait atrocement mal, mais au bout de quelques minutes la douleur se calmerait et la plaie cicatriserait au bout de quelques jours. Elle attendait toujours l'étalon impatiement.

( Excuse moi je suis pas très inspiré là x) )

Pourquoi tenait elle tant à ce que Lecter vienne ? Alors voulait elle vraiment se battre ? Une multitude de questions traverserent l'esprit du mâle qui continuer de saquager le sol humide en un tas de boue en piettinant nerveusement. Il de cida donc de tenter le coup, il s'avança dans les eaux fraiche des chutes, prenant soin de ne pas se faiire enporter par la force du courant. Il passa ensuite sous l'immense colonne d'eau qui s'abbatait sur son dos, a cette instant il eut comme l'impression que sa colonne allait se briser sous la puissance des trombes d'eau qui tombait, de là on aurait presque dit qu'elle venait du ciel, des tenebres ?. Il entra ensuite dans la grotte où se trouvait la jument. Il ne lui jetta qu'un breve coup d'oeil plutôt sombre, ses dents toujours decouvertes et ses oreilles plaquées en arriere. Le bruit infernal provoquait par les chutes resonnait dans la grotte. Sa queue fouettait avec violence l'air pour venir ensuite faire degager les mouche et autres bestioles qui le taquinaiant. Il resta a une certaine distance de la femelle, mefiant.

[Je suiis egalement à Sec D'inpiration là xD]

Wednesday regarda l'étalon, intriguée elle s'approcha de lui en lui demandant.

- Qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez vous ? Pourquoi être aussi assoifé de haine, de vengeance, de... De tout ! Répondez ! -

Une mélancolie s'afficha tout à coup dans ses yeux... Cela lui rappelait son père, l'expression de cet étalon? Si noble, si fort, si belliqueux.

( Encore plus x) )

Odeur de charbon brulé dans la sellerie de la grange, mélée au effluves passagers des animaux et des hommes. Reflet du feu sur le long crâne d'Ombre mouvante, vide comme la providence, observant tout derrieres ses oeilleres. Les braises rougeoient dans la forge et palpitent sous le chuintement du soufflet quand le bandit porte a incandescence une barre de fer déjà rouge cerise. Tel un angoissement retable, le proprietaire de l'écurie est pendu sous la tête du cheval, les bras écartés à l'horizontale et solidement attachés a une atelle, robuste piece de chene prise a la carriole des poney qui pese sur son dos comme un joug et que le bandit a fixée aux briques avec une cheville de sa fabrication. Les pieds du proprietaire ne touchent plus le sol. Ses jambes sont ficelée par-dessus le pantalon en de multiples tours regulierement espacés, de même que deux rotis pret a etre mis au four. Pas de chaines, pas de menottes, aucun objet metallique qui pourrait blesser les machoires des porcs et les decouragers. Quand la barre atteint la temperature maximale, l'homme la porte a l'enclume avec ses pinces et leve son marteau. Il modele le trait de chaleur jusqu'à lui donner la forme d'une manille, soulevant des etincelles dans la penombre qui rebondissent contre sa poitrine et vont tomber sur la silhouette écartelée du proprietaire. d'une modernité choquante au milieu des outils ancestraux, la camera de television lorgne le proprio' de son trepieds arachnéen. Sur l'établi, un moniteur pour l'instant eteint. L'inconnu chauffe a nouveau sa piece avant de se hater dehors pour l'installer sur le chariot elevateur pendant qu'elle est encore rougeoyante, malleable. Son marteau réveille des echos dasn les grands espaces de la cave qui sert d'enclos, les coups puis leur reverberation : Bang-bang, Bang-bang...Celà resonnait dans la tête du poulain qui observait la scene depuis le debut, caché dans sa grotte qui lui servait de refuge, la seule pas encore en feu. Tous cela continuer. Mais ils était maintenant l'heure pour le petit poulain de s'enfuir le plus vite possible pour eviter d'attroces souffrances comme le vivait le proprietaire. Le bandit saisi les cheveux du proprio' et lui leva la tete, affichant un sourrir mesquin laissant paraitre ses dents pourrits. Il ricanna et cela resonna. Le poulain était au sol, capturé, un poignard dans la poitrine, le sang jaillissant. Où partait-il ? Bienqure il avait haïe ce proprietaire qui ne lui affligé que misere, qui l'avait capturés alors qu'il venait de quitter sa mere. Mais il regretta bien car c'est dans un endroit bien plus sombre et mediocre qu'il allait etre emmené. Cet endroite, où il devint un bête des plus sanguinaires, une bête de combat.

- Cannibal Instinct .

Voilà un episode du passé d'Hannibal Lecter, mais une miette seulement. Son coeur a present transpercé remplacé par un artificiel tout comme ses poumons qui étaient bien trop usées pour devenir suffisement fort pour combattre, ils furent remplacés aussi. et ces deux mot furent sa seul réponse, qu'il laacha sur un ton froid et un sourire sarcastique, un regard malsain venant effleurer la robe de la jument qui s'everait peut etre un peu trop curieuse. Il ronfla avec bruyance des naseaux ...

Wednesday avait peut-être comprit le problème... Il avait était choqué, torturé, jusqu'à en devenir fou... N'était-ce pas ça ? Cependant, elle se rendait compte que ce qu'elle avait vécu était largement mon atroce que ce que lui, Hannibal Lecter avait vécu, ou plutôt dire à ce qu'il avait survécu... La jument s'approcha de l'étalon, se foutant de toutes blessures ou tout autre chose elle lui glissa à l'oreille.

- J'ai compris. -

La jument s'avérant moins curieuse, repartit à sa place originelle. Elle toussota, le souffle court. Puis elle attendit, dans un silence macabre et pesant.

Survécu ... Un mot biien choisit en effet. Seulement, elle était loin d'avoir tout compris, même Hannibal Lecter n'avait compris que trés peu de chose de ce qui lui était arrivé, du pourquoi il était ainsi ? Pour lui ce n'était peut etre autre que sa destinée. C'ets lorsque la jument vint se rapprocher de lui que Lecter laissa echapper un grondement feroce, il n'aimait guere se genre d'approche, ou plutot il n'aimait guere qu'on l'approche tout court où sauf si c'ets lui qui l'avait decidé, une certaine distance de securité était obligatoire si vous ne voulez pas qui vous reduisse en chair à saucisse XD. Bref. Le mâle fit mine de charger la jument mais se stoppa avant de la percuter, tout cela en agitant sa machoire dans le vide. Il avait bien l'intention de lui faire comprendre que Lecter était vraiment differents des autres. Peut etre n'avait elle jamais entendu parler de lui, mais tout ce qui s'en dit n'ets rien de térs sympatique. Il laissa ensuite la jument repartir à sa place. Il ne lacha aucun mot, laissant ce silence infini venir les hanter.

[Desolé, mon Post est vraiment trop moche ><' Mais je suiis vraiment à plat là xDD]

Oh que oui, Wednesday avait bien compris qu'il était différent, n'empêche qu'il était peut-être différents des autres équidés, mais ne pourrait-il pas faire un effort et changer ? Impossible...? Ou possible ? Autant chercher une aiguille dans une botte de foin...( expression vachement appropriée pour des chevaux xD ) Mais elle ne laisserait pas tomber ! Pourquoi ne pas faire ami-amie ? Toujours les deux même hypothèse trottait dans sa petite tête.

( Meuh nan x) Moi c'est encore pire -_- )

N'up =)

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