Heaven - Anthrax Les mots ne vivaient que par eux.
Nombre de messages : 135 Age : 32 PUF : Hoax Date d'inscription : 12/08/2008
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| Sujet: MONSTERS; again + Sam 16 Aoû - 12:56 | |
| [pm Unleashed]
Grenouille ?
Heaven marchait, avançait. Ses pas étaient lourds, boursouflés, entrain d'une mélodie incompréhensible, contagieuse. Alors il marchait, secoua interminablement ses membres, ses organes, ses muscles; structure. Il crevait ce sol, cette herbe, cette vie; il l'amenuisait, l'abimait, mais alors sans même le vouloir. Heaven c'est Jem', c'était. Jem' était un humain, il vivait d'ailleurs. Enfin, il parait. Jem' ne vivait pour rien, ou qu'une chose: l'attente. Puissamment, il releva sa magnifique tête noble et alezane, ce toupet lui retombant avec altération sur ses yeux bleus. Bleus, oh. sans fonds, beaux, indécryptables, des yeux. D'un geste maussade il se révéla lentement à la lumière du jour, sortant de l'orée, emplie d'odeur conifères. Colombes, elles volent. Douces, gracieuses. Réfractent la lumière blanche solaire, brûlent les rétines. Aux noirs corbeaux iront les aurores délicates.
Vous ne comprenez vraiment pas.
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Invité Invité
| Sujet: Re: MONSTERS; again + Sam 16 Aoû - 14:28 | |
| LE COEUR A L'ABRI AUJOURD'HUI PLUS QU'HIER, JE SERAIS MON SEUL ENNEMIS, JE SERAIS MON SEUL REPERE, AVEC MA VOLONTE POUR SEUL ALLIE, JE VERSE MES MOTS, LA OU MES LARMES ONT TROP COULEES ...
- Mais ou est ce que j'avais encore atteris ? Une odeur plus detestable enivré mes naseaux etroitements dilatés, pour n'aspirer qu'une faible quantité de cet air nauseabond. Ces satanés volatiles laissaient glisser leurs plumes, et il y en avait deja une epaisse couche sur le sol, rendent chaqun de mes pas silencieux, mais qu'elle utilité d'avancer lentement, si ces betes cupident piallaient incessemment, et pour rien en plus... Vous l'avez tres certainement compris je n'aimais pas, mais alors pas du tout, les oiseux, peu importe lesquels, je les detestais tous sans exeption ! & ce a partir d'aujourd'hui, journée interminable, dont j'avais perdu le fil, m'abandonnant dans ce lieu sordide, et perdant toute notion du temps.
J'avançait droit devant moi, refletant bien l'image de l'effronter que j'etais. Refoulant les plumes, mes sabots claquaient contre la terre, jallonait d'excrement d'oiseaux, vous l'aurez parié. Les oreilles obstinement plaquait, il me sembla dicerner un bruit qui n'appartenait pas aux betsioles qui fesait ma compagnie actuelle. Je me figea, semblable a une grande statut de cuivre, ma robe prenant les reflets de ce sublime metal lorsqu'on le met au soleil, seul mes crins sombre donnait une fausse image au tableau, se confondent dans l'obscurité qui avait envahi mon esprit, pour ne pas sombrer.
Une odeur se detacha de celle de la poule mouillé, si j'ose dire, et vint emplir mes naseaux. malheureusement pour cet inconnu, ce lieu m'avais plonger dans de tres mauvaise disposition, pour etre aborder. D'ailleur je crois que dans n'importe quel endroit, je n'etais jamais dans le bon etat d'esprit pour etre arracher, meme quelques instants, a ma vie de solitaire endurcis ...
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