N'Oublie Jamais[PV Silent]

Si ma mémoire flanche, tombe et coule, comme des larmes animé à nouveau, je n'ai pas la capacité d'oublier l'horreur de mon passé. Et finalement j'en suis heureux. Car il y a quelqu'un là, non loin de moi, chaque jour, chaque nuit qui me suit pas à pas, dans un galop efreiné, ou encore dans un sourire eternel et silencieux. Silencieux. Le hic de cette histoire. Et même si elle existe dans un passé récent, elle fait partit du passé...Comme elle fera partit du présent et avec espoir dans l'avenir si dangereux soit-il. Je ne parle guère de ma mère, la seul personne que j'aurai pu aimé jusque là, celle qui m'avait donné vie avant de mourrir sous l'influence de la douleur physique que lui avait affligé un même et unique homme, commun à moi. Ma mère jusque là avait été la seul personne qui merité d'être respecté. Les autres n'étaient que des riches bout-en-train, ou triste sans raison. Il n'y en avait qu'une qui était la perfection même. Ma mère. Et pourtant, effectivement je ne parlais pas de ma mère de sang et de coeur, régnant maintenant dans les cieux, et veillant probablement sur son jeune poulain devenu grand vengeur. Et qui developpait un nouveau sentiment, peut être aussi ? Lui, Moi qui s'était promis sans mal, convaincu que je ne me laisserait pas prendre, de ne pas se lier d'un quelconque sentiment avec quelqu'un. M'étais promis, de vivre juste pour se venger, moi et sa mère. Et Pourtant. J'avais trahie cette promesse faite à moi même.

Et cependant, Je ne regrettais pas.

Il n'était pas nécessaire de comprendre. Son nom ? Je le conaissais parfaitement. Et qu'importe si elle connaissait pas mon nom respectif, à moi. Qu'importe. Elle me conaissait assez. Tant pis si elle ne conaissait pas mon passé, mon envie. Parce qu'elle n'entendait pas. Tant pis. Car elle m'avait sauvé la vie, et permis de la rencontrée. Elle. Cela me suffisais maintenant. Pourtant je partirai un jour, pour me venger, et elle ne pourra pas comprendre. La vie serai dur, si elle l'appréciait elle aussi, certe, mais qu'importe. Je tiendrais le coup, la patiente, je maintiendrais.

Je ne retrouve plus mes envies, tous me manque depuis quelques temps. Je me sens lasse, sans vie, mes forces semblent peu à peu m'abandonner. Mais je tiens encore le coup. Quoi qu'il arrive, je ne dois pas baisser les bras, pas maintenant. Je dois y reprendre gout. Je dois... Si je suis là, c'est bien pour une raison, non ? Mon destin, la chance, le hasard, il m'emmenera bien quelque part, n'est-ce pas ? Il ne m'aurait tout de même pas laissé tomber ? Quel ennuis... La vie me semble si triste d'un coup, si... Si trouble... Oui, j'ai mal aux yeux à force vouloir tout voir, de ne pas me faire prendre par d'autres animaux... J'ai si dure... Mais je ne laisserai pas tomber ma vie dans ce ravin que le monde devrait appellé la Mort. Celle qui nous prend sans qu'on le eux vraiment, qui souvent est plus forte qu'autre chose. Non, moi, je serais plus forte à ce moment là. Plus forte que quiconque, je pourrais la contrer. Je dois y arriver. Je dois... La vie semble pleins de devoirs lorsque j'y pense. Ou c'est simplement moi qui m'en donne de nouveaux, tous plus stupides les uns que les autres.
A ses côtés, la vie semble si belle, si pure... Si je restait toujours près de lui, je saurait enfin... Enfin. Je mangerais, tel un vrai cheval mange tous les jours beaucoup d'herbe, de fruits, de végétaux... Mais ces végétaux n'ont jamais de gouts lorsque je suis toute seule, jamais. Je voudrais que l'herbe soit plus tendre, plus douce, moins amère, plus sucrée... Ls fruits aussi, ils perdent de l'éclats à mes yeux... Je me sens épuisée & quelque peu moite, incapable de faire le moindre mouvement, pourtant je marche, d'un pas lasse, mais je marche. Des gestes mécanique qui ne ce sont jamais arrêter. Je ne cesse de tourner en rond, sans cesse. Je marche, je marche, je marche. Une fois près de la mer, l'autre fois dans une forêt, un autre moment près de la cascade... La cascade, cette grande cascade... Lui, lui qui m'a montré le soleil, il a éssayé de me faire comprendre... Il a fait de son mieux, j'ai sauver la vie de quelqu'un. Oui, je l'ai fait, & j'en suis contente. Tellement heureuse de savoir ça. Mon soleil... Soleil...

Son Soleil.

Son

Soleil

Que faisais-je là ? Au milieu de baratinage d'amour, de voilactée de tendresse, et de pluie de solidarité. Je n'avais rien de tout ça. Avant j'aurai ris de ce phenomène, j'aurai lever les yeux au ciel, et je serai partit aussi noir qu'au par avant, l'axe de mes pas tournanant à la délinquence et à la folie, mon coeur pourtant ne fremissant pas, à chacun de ses battements, glacé par la douleur, d'un givre solide comme la pierre. Je serai repartit vers des contrais plus approprié à mon âme déchu. Vers le cimetière où j'aimais bien passé la nuit, jusqu'au crépuscule, qui redonnait trop de vivacité à ce lieu, pour la raison qu'il me semblait sans nul doute que c'était le lieu présent où je pouvait être le plus proche de ma mère. Dans son domaine. Et puis je m'y sentais bien, solidement attaché, comme mon coeur enchainé. Alors que faisais-je là, comme un idiot à observer le ciel, comme ses sôts mélancolique. Que faisais-je là, dans le silence, qui me semblait mille fois plus doux qu'habituelement, moi qui appréçiait la brusquerie et la méchanceté. Que faisais-je là encore, sans réaction quelconque, sans animation quelquel soit. Je sentait mon coeur douloureux serré comme tout. Jaloux ? Jamais ! Jamais, je ne serais jaloux de ses amoureux qui ne voyait que par leur âme soeur, naïf, pensant que la vie s'offrira à eux tel une beauté de la nature, pour l'éternité. Jamais. Jaloux non. Comme eux non plus. Pourtant je ressentait le même sentiment, tout en restant méfiant à cette nouvelle découverte. J'étais donc là, rien que pour elle. Certe elle n'était pas présente, et elle vauguait, je l'esperais du fond de mon pauvre coeur étroit, joyeusement. Etre ici, me rapprochait plus d'elle qu'ailleurs. Si, il y avait aussi la Cascade, et parfois les Bosquets. Finalement, j'avais abandonné le cimetière pour la Cascade. En y pensant, je me sentit bête et traître. Je pensa alors à ma mère, et espéra qu'elle me pardonna. Subitement, je me questionna. Une question que l'on se pose normalement dès la naissance. "Papa ?" Papa. Qui était-iol ? Ma mère, avait-elle succombé si facilement au coeur d'un étalon, pour me mettre au monde seul. Pour la première fois de ma vie, j'eu honte de la jument qui m'avait donné la vie.

Et si je me trompais ?

Si comme eux, je fondait dans l'integrale confiance, dans l'espoir d'être heureux. Non, je savais que je ne me ferai pas prendre. Je savais que ce ne sera ni joyeux ni affreux. Ce sera réaliste. Cependant, je savais une chose, qui me rapprochait un peu trop de ses sôts. Avec elle, la vie serait tout de même plus angélique. Mais, est-ce que je me trompais ? Est-ce que je devais lui faire confiance ? Je ne savais plus, non habitué. Pourtant bientôt la réponse se révela à mes yeux d'argent. Cette réponse se présenta matérielement, sous forme d'une Ponette qui rayonnait au soleil qui caressait ses crins derrière elle. Comme une illusion. Une illusion réel. Je fus d'abord surpris, puis déçu, enfin en colère. L'amour me jouai déjà des tours, que je la voyait non seulement face à moi presque comme réele, mais plus belle que la dernirèe fois. Je laissa tombé, tel une poupée de chiffon ma tête pomelé, et observa l'herbe. Je recula perturbé. Je ne changerai pas mes habitudes pour elle. L'herbe m'était hostile à mes papilles. Les pommes rougêatre estompait encore le dégout, mais cela restait guère mon appetit preferé.

Je ne sais pas ce qui se passe... Je me sens pas bien, je commence à avoir des crampes au ventre, j'ai mal. Tellement mal. Toutes c'est choses dont je me suis privée parce que je préferais marcher inutilement comemnces à me faire mal. Je n'y pensais pas autre fois, je me fichais de ça. Je n'y faisait pas attention, j'étais trop occupée à penser. À penser à ma propre personne sûrement. Je ne veux que mon bonheur, c'est vrais... Je suis égoïste... Terriblement égoïste. Je ne voulais que plaire à mon esprit & non satisfaire correctement mon corps... & maintenant que je suis à nouveau près de lui, mes pensées s'évadent, partes, mes fichiers ses ferment & ouvrent d'autres pourtant plus important à mes yeux. & je finis par voir qu'en réalité, je souffre le martyr... Mon ventre est vide, il gronde en moins, sans se faire entendre en dehors. Je sent en moi, mes pensées qui sifflent comme une locomotive siffle pour annoncer le départ, mon coeur bat, bat, bat & j'en ai mal à la tête. Je sent mes jambes s'alourdire, mes petits piaffements se faisant impossible. Je sent mes paupières lourdes, je me sens fatiguée, moite... & mon ventre qui gronde toujours, mais je n'aime pas l'herbe, elle n'est pas bonne. Pas tant que Soleil m'explique ce qu'il a... Non, c'est vrais, je ne le comprend peut-être pas... En fait, pas du tout, tout ce que je crois connaître est en réalité un mensonge, des phrases que je me suis inventée & dont j'ai cru. C'est ça, avoir mal à en mourir ? Non, je me suis trop rapproché de ce ravin, faut que je l'évite... À tout prix, je n'avais pas compris que je m'avançais dans ce canyon. Je ne savait pas... J'ai pris le mauvais chemin là. Il faut que je change, complètement, que j'arrête de me morfondre sur mon sort, de vivre, réellement... & si Soleil n'en est pas capable, il n'en aura pas la chance... Je ne dois pas rester là à ne rien faire. J'ai trop longtemps été l'esclave de l'espèrance, l'espoir ne doit plus avoir de si grande place dans mon esprit, sinon, je m'avancerais encore un peu plus sur le mauvais chemin, vers ce ravin. Je peux pas... Je me suis dit que je ne devait absolument pas tomber dans ce ravin, pas maintenant alors que je comprend à peine...

Le mâle n'en pouvait plus. Il frotta de son sabot avant le sol, déracinant l'herbe fraîche de l'île, et verdoyante. Nerveux, et perdu dans le gouffre, il se sentait lus seul que jamais. Pourquoi lui jouait-on de si mauvais tour, d'apparition. Ne souffrait-il pas déjà assez ? Ou alors le destin souhaitait-il qu'il reste dans le chemin de la tyranie et de la vengeance par pu caprice et ennuie. L'étalon dressa subitement sa tête vers le soleil resplendissant qui eblouissa son regard d'argenterie, et henissa de douleur. Il se cabra vaguement sur ses anterieurs arrières. Il ronflait violement des nasots, et un souffle chaud s'en echappait. Ses anterieurs frappait le vent, avant de retomber enfin sur le sol, provoquant comme la seconde fois qu'il avait revu Silent, un nuage de fumée gris marronier. Tout lui rappelait la ponette. Tout. Ce qu'il voyait, ce qu'il faisait, ce qu'ilm entendait, même. Le souffle du vent, n'était pas devenu uniquement sa seule compagnie comme au début de sa venue ici, mais aussi SA voix. SA voix, qui n'exprimait qu'une langue étrangère et à la fois si familière à l'oreille de Bad Fire. Et en cet instant, il fut hanter de tout son être par ELLE. Le vent qui souffla contre lui, sans doute colèrique contre son action de révolte, le nuage de fumée qui l'encercla tel des chaînes l'obligeant à pourrir de detresse, et son image qui s'effaçait dans la fumée. L'étalon henissa encore une fois, et s'écroula subitement au sol, comme aveugle de controle, de dignité, et de fierté. Ses pattes avaient trop trembler à tous ses souvenirs, et l'avaient laché. Il ne toussa pas à l'inspiration de fumée poussièreuse et de boue sèche, au contraire il inspira en fermant ses yeux, pour retenir une montée de larme qu'il s'était promis de ne plus jamais eveillé. Il inspira jusqu'à en bomber le torse, et maigrir son ventre au maximum, souhaitant mourrir avec comme dernière senteur celle de la poussière qu'il avait aussi sentit avec elle, avec le son de sa voix que lui portait le vent comme par magie, et précedement son image. Il voulait mourrir avec elle. Seulement elle n'était pas là, ce n'était qu'artificielle, et il en mourrait finalement. Il secoua la tête, sentant que le sang lui en montait par le manque d'aire, souhaitant garder l'inspiration prise. Ses yeux était flou, et si ce n'était pas les larmes, s'était la douleur. Lorsque le nuage s'appaisa sur le sol, il agonisait, avec courage de garder cet air. Il était bête et tétu, mais c'était son dernier espoir.

Mais lorsqu'elle apparut à nouveau...

Il laissa s'enfuir l'air de ses poumons agonisant, et la contempla dans toute sa beauté. Si elle était belle ? Oh oui. Sa couleur alezane douce, et ses bandes blanches, la rendait féminine, et frèle, surtout son manque de rondeur, et ce fut surtout son regard qui l'attira tel un ement. Il eut un frisson qui parcoura tout son corps, ainsi que son interieur. Il flancha, et tenta de se lever:
- Silent ?
Il s'approcha à petit pas, et la huma. S'était elle, plus que réel. Il ferma ses yeux, et posa ses nasots chaud et pimenté contre ceux de la ponette. Il n'avait rien à ajouté pour le moment, trop perturbé, trop comblé. Il lécha doucement la joue de Silent, et ronfla paisiblement des nasots. Un rayon de soleil s'imissait entre le creux qui les séparait, tel une peinture iréel.

Non, je m'en veux... Je voulais pas... Je veux pas ! Il ne faut pas le prendre. Non, ne tombes pas dans ce stupide ravin, sil-te-plait... Je t'en supplies... Faut pas que tu tombes, si tu tombes, je tomberais avec toi, juste après, pour pouvoir te suivre, le plus rapidement possible. Sans toi, la vie 'na vraiment aucun sens... Je serais pas vraiment quoi faire, les choses autours de moi n'ont pas de gouts & sont moches, alors qu'à tes côtés, Soleil... Tout est illuminé & me donne envie, autant la nourriture que tes crins en bataille & tes yeux argentins... Tu sais quoi, si je devais encore vivre longtemps, je voudrais être à tes côtés jusqu'à ma mort. Je veux mourir près de toi... Ne me laisses pas. Il y a encore tellement de choses que je veux découvrir avec toi à mes côtés pour m'éclairer un peu... Ne serait-ce qu'un minimum...

Soleil

[Roh j'avais écriiiis!]
L'espace d'un unique et indescriptable instant, tout cessa. L'herbe verdoyante à cette époque de l'année cessa de danser agilement et de chatouiller les sabots des deux chevaux, insolement. Le vent cessa son soufle plus paisibile, laissant la véritable voix de Silent pour ses prochaines paroles, s'abandonnant subitement. La moindre source de vie animal s'endormis dans le même rythme, filant dans l'intimité de leur amour réciproque ou dans le rejet. Les nuages blanchis quant à eux, cessaient de roulé vers d'autre forme tout autour du monde, laissant le soleil integralement ouvert à la Terre. Le moindre son, le moindre murmure naturel, le moindre mouvement. Comme-ci un globe invisible encerclait étroitement les amis, les protégeant de la vie qui les entouraient parfois trop cruel. Amis ? Oh plus qu'ami. Même si, Bad Fire ne l'avouait encor, tentant de s'en déconvaincre par dignité et honte de flancher, il le savait, là au plus profond de son coeur. Son coeur dont la roche s'écaillait, les particules sombres se détachaient lorsqu'elle était avec elle. Son coeur se consommer d'amour, bruiler, et la pierre fondait en même temps. Mais dès qu'il était seul, ou en tout autre compagnie chaque particules se ralier à nouveau, et bruler cette fois-ci d'adréaline et d'hostilité. Il n'était que Soleil avec elle. Si il avait su un jour, que quelqu'un le surnomait ainsi par manque de comprehension, il aurait pris cela tel une moquerie insolente et se vengeait dans les ordres de l'hostilité. Mais, c'était elle qui le surnommait ainsi, par sa faute aussi. Et si elle prenait plaisir à le nommé ainsi, alors ils e baptiserai ainsi pour elle. Juste en sa compagnie. Il redeviendrait Bad Fire avec les autres. Deux facettes précises, et réels. Mais il ne conaissait pas ce nom donné, alors il ignorait, déçu qu'elle ne puisse pas l'appeler par un nom quelconque.

Bad Fire s'approcha de sa douce, à nouveau, sentant les rayons jaunâtre du soleil caressait son nasot, ainsi que celui alezan de la ponette. Une chaleur moins forte mais plus réel que celle qu'il ressentait de l'interieur. Il recula pour l'admirer, et fouetta l'air de sa queue, avant de secouer sa tête faisant voler sa crinière grise guère très acceuillante. C'était seulement ses traits et sa carrure qui le rendait charismatique. Et surtout, en tout cas, ses yeux. Pourtant, pour lui, rien ne valait les yeux d'amande nature de Silent Forget. Il ne sentait guère capable de quiter ce regard qui l'ensevelissait sous des tones de sentiments inconnus et contradictoire à sa façon de voir les choses. Une étincelle de douceur, et il leva ses yeux vers le ciel avec difficulté de se détacher de ceux de sa bien aimée. Il remercia interieurement les cieux, et ses esprits, très spirituel qu'il était.

Maintenant il y a toutes les raisons que tu restes, vus que j'ai réussi à convaincre draï de revenir. xD.

En une seconde j'ai cru l'entendre... C'était une simple illusion de ma part, Soleil aurait pu tout simplement être tomber sans rien dire. & les hénnissements auraient été que fantômatique... Mais voilà que le vent souffle & j'ai l'impression d'entendre les feuilles des arbres chanter. Très vaguement, mais doucement & calmement. Un petit chant éternelle... En fond, je sentais mon coeur battre, à me faire mal aux tympans. Le soleil brillant donnant à ce lieu une chaleur presque étouffante, le vent, seul à apporter du vent frais, froid... C'était pour le moins, étrange... Etrange mais beau... Incompréhensif... Si ce n'était pas mon esprit & mon âme qui me jouait des tours, que est-ce... ? Ces petits bruits, loin, très loin de moi dont je me suis tout même assé approché pour les entendre gémir à mes oreilles de poney. J'ai l'impression que l'impensable ce serait peut-être passé... Inimaginable... Je rêve. Je rêve... Etre là, près de Soleil & avoir le sentiment que mon handicap disparait peu à peu... Cela me semblait impossible, j'avais toujours espèrer, encore une fois j'avais été esclave de l'Espoir. Tant de fois que l'ai-je été. Je ne comprend, je ne sais pas ce qui se passe... Mais je suis presque éblouïs par son regard, sa beauté à lui. Différent des autres... Il est tout simplement Magnifique... L'impression de ne jamais rien pouvoir lui refuser me faisait presque peur, mais non, j'en avais envie. Envie de me sentir à nouveau libre, à nouveau sans problème, comme dans le temps... Je voudrais même être encore plus heureuse. C'est sûrement possible, n'est-ce pas ? Près de lui... Au moins...

Bad Fire souria. Oui il eut un leger sourire à l'égard de la jument.Il n'ya urait qu'avec elle qu'il serait ainsi. Ce serait sa seul faiblesse. Mais une faiblesse immortel, et qui faisait de lui quelqu'un de bien, et surtout le rendait bien en lui même. Avec elle il pouvait être celui qu'il aurait du être si il n'était pas né orphelin et en captivité. Avec elle il pouvait être l'opposé de ce qu'il était face aux autres : Hostile, ingrat, et indifférent. Il n'avait d'égal à Hannibal Lecter qui l'avait provoqué un jour, il n'était pas comme lui. Mais une partie de lui ressemblait à ce cheval grisé de saleté, et de mauvais sang. Je ne parle du sang materiel mais du sang morale. Comme lui, il manquait de goût positive aux paturages, et aux fruit juteux. Comem lui, il n'apportait aucune amitié, aucun amour à personne. Mais aujourd'hui il se différenciait de lui. Du moins il le pensait, ne sachant pas qu'Hannibal aimait deux personnes: sa soeur apperement, et une jument. Alors finalement, si il aurait su, il aurait eu moins de coeur que lui même ? Non. De toute façon il s'en fichait. Il était là, différent de tous aux yeux de Silent, différent de lui à ses yeux. Oui, différent. Et il en était heureux. Il regarda protecteur la ponette, et l'admira plus qu'autre chose. A rapport à elle, qui n'avait apperement plus de famille non, plus elle n'avait même plus l'ouïe. Elle ne pouvait pas ecouté, l'unique ancien ami de Bad Fire, le vent. Biensur elle ne pouvait pas entendre non plus c'est foutu chant d'oiseau, mais ça sans doute ça lui aurait plus à rapport à Bad Fire. Oui, ils étaient différent. Mais le proverbe: Qui se ressemble s'assemble; n'est que foutaise. Qui se différence ce complète. Voilà, ce que pensait Fire. Du moins il ne l'avait jamais pensé jusqu'à sa rencontre avec la plus jolie des ponettes. Que dis-je. Elle était plus à croquer qu'une jument. Certe il fallait l'avoué pour son égo, Fire était content d'avoir comme bonus, qu'elle était legèrement plus petite. Oh, pas pour avoir le dessus. Il ne lui ferais jamais du mal. Il se l'était promis à l'instant. Mais... Et si ELLE lui faisait du mal ? Bad Fire n'y avait jamais pensé. Elle n'était que bienfaisante à lui, et il ne voyait pas comment n ange, son ange, pouvait lui faire un tel mal possible. Pourtant, rien que si elle ne l'aimait pas, Bad souffrirait sans doute. Mais il ne se vengerait pas. Il parviendrait à se controler, à se convaincre qu'elle n'y peut rien. Et il l'aimerait. Voilà tant pis.

Lorsqu'il sentit les nasots claires de la jument touchait les siens, il pencha sa tête, et ronfla doucement des nasots. Ses nasots d'ailleurs legérament entaillé, par la feraille rouillé, que l'homme lui foutait dans la bouche, et qui entourait ses nasots. Une odeur de sang s'en dégageait que très très legèrement, mais la cicatrice était fragile, et pouvait s'ouvrir facilement. Bad Fire, la huma du bout de ses nasots, jusqu'à ses oreilles remuantes. Il les lécha, se demandant quel sensation ressentait-elle face à son ouïe manquante. Il se demanda ensuite... Comemnt le lui dire ?
- Silent. Si seulement tu pouvais m'entendre mon Ange. J'aurai tant de chose à te dire.

B

J

Q

- Je t'aime mon Ange.

Que ferions-nous, l'un sans l'autre ? Que serions-nous si nous étions séparer... Nous qui enfin, nous nous sentons libre, nous avons l'impression de brûler & nous demandons qu'à brûler encore, l'un près de l'autre pour se réchauffer mutuellement. On a l'impression que j'aimais nous n'avions vraiment vécut autre fois... & dès que nous ne sommes plus ensemble... Nous avons l'impression de ne plus savoir respirer, d'étouffer, de demander de l'air, un guide... Une chose qui nous guiderai, coûte que coûte... Nous demanderions à peu importe qui, de reboucher els trous qui pourtant, son trop grand pour être rebouché, peut-être rien qu'un peu. Nous demanderions à avoir ce que nous n'avions pas chez d'autres pour peu à peu reconstruire notre coeur & pourtant, nous n'y arriverrons pas car, nous nous souviendrons toujours du plus important pour que petit à petit ou à de plus gros bout à chaque fois, ce que nous aurons rebatit sera détruit de nos propres envies... Nous voudrions bien un jour, revoir ce que nous étions, nous voudrions nous revoir comment nous sommes réellement, non cette machine que devient notre corps & ce mécanisme nos pensées... & cette souffrance s'agrandira de jours en jours. Nous ne savons nous oubliez, malgré que nous éssayons, les noms, les souvenirs restent... Que ce soit nous ou notre inconscience... Le pire, c'est encore de l'avouer, qu'on aime encore & toujours après des années, lorsque nous seront de vieux chevaux à barbe, sans aucun but, sans rien... Rien qu'un vide, inutile... Dis-moi, qu'un jour, on s'envolera à deux là-haut... Mon ange, nous volerons, nous courons sur les nuages & écouter le chant de dieu, du bonheur, des êtres Heureux que nous serons...

Je t'aime, Je T'aime... Chaque seconde, me donne encore plus envie de te le dire, de le prouver. Comme une chose éssentiel que tu doives savoir avant toute cose, le plus important, pour que tu le saches, que tu ne l'oublies pas... Ce sera Notre Secret. Notre Secret... Tu le promets, on ne dira rien, nous ferions comme de rien lorsque quelqu'un sera là & on entendra pas de Vous au pluriel mais de il & elle. Aucun Nous près d'eux, juste à nous deux, oui. Je penserai à toi... Peut importe où, maintenant que tu es là, je peux enfin Vraiment Vivre. Vivre comme il le faut, ne pas oublier de manger & trouver tout ce que je trouve bon, délicieux, seulement si c'est en ta présence. Ange... Ange brûlant... Mon Soleil. Tu anîmes & retiens encore le feu qui coule dans mes veines, tu alimente mon coeur... & une fois de plus, je consomme, lorsque tu ne sera plus là... Lorsque tu auras une fois de plus, décider de chercher quelqu'un, une personen sur qui se venger... Faire partir ta violance. Tu reviendras par après, n'est-ce pas ? Tu me le promets... ? Sans ça, je ne te quitterai pas...

UP =)

[ <3 (L) =DD ]

" Tu verras. Je chanterai des louanges au près de notre enfant. Espérons qu'il te ressemble plus qu'à moii."

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N'Oublie Jamais[PV Silent]

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