Nox revelia Never . l o s t ♥
Nombre de messages : 2438 Age : 29 PUF : kawai.g l o w Date d'inscription : 18/08/2007
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| Sujet: Inatendu. Sam 15 Nov - 17:52 | |
| Inatendu. ( Libre )
Regarde le ciel, Saute des nuages aux étoiles.
x. J'affichais une mine évoquant le désespoir, la tristesse, la nostalgie... Le ciel c'était couvert depuis déjà un petit moment, et les nuages sinistres parsemaient le ciel par endroit ce ressérants afin de combler les derniers entrebaillements de fenêtres affichant un bleu azur. Un instant les raffales de vent ses calmèrent, mais cela ne dura. Les arbres dégarnient pointaient piteusement par endroit, la neige au sol restait blanche, poudreuse. La réverbération me faisait mal aux yeux. Le vent me cinglait le visage; je ne supportais pas ça. Une longue attente ce fit, quand je finis par apperçevoir quelque chose, ou plutôt, Quelqu'un...
x. Desuite, je me renfrognais affichant une expression contrariée. Malgré tout, je continua d'avancer, fixant la silhouette, ne la lachant pas d'une seconde, je restais inquiète, moi qui n'aimais guère trop de compagnie, j'étais aujourd'hui servie ! Décidemment je n'étais pas chanceuse du tout, j'avais le don de m'attirer dans de drôles de situations, si vous saviez ce qui avait bien pu m'arriver au fil des années vous seriez bien, & plus qu'un peu impressionés... J'arrivais en fin face à la silhouette, venant de me rendre compte qu'elle était masculine. Je restée plantée face à l'étalon sans rien dire, je ne respirais plus pendant un instant.
Dernière édition par * Shlawl Adwyria le Jeu 25 Déc - 13:55, édité 1 fois |
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Revenge Wonderland, here we go !
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| Sujet: L'herbe bleue Sam 13 Déc - 22:01 | |
| ( Je ne te laisse pas finir car il est pour moi déjà finis, tant pis. Ce soir, j'ai envie d'écrire un peu (= ) ' Hier, je me croyais la personne la plus heureuse de la terre, de toute la galaxie, de toute la création. Etait-ce hier seulement, ou bien à des millions d'années- lumière ? Je pensais que l'herbe n'avait jamais eu d'odeur aussi verte, que le ciel n'avait jamais été aussi haut. Et maintenant, tout s'est écroulé et je voudrais me fondre dans le néant stupide de l'univers et cesser d'exister. '[ L'herbe bleue ]Il se tenait droit, comme toujours. De toute manière, même les crocs du vent hurlant et misérable n'aurait pu l'abattre. Seuls fières et grouillantes, les goutelettes se brisaient dans un grands fracas sur sa peau nu. Par milliers, elle rejoingnait les rainure des torrents coulant le long de son corps. Et dans une parfaite symbiose, les flots de vie s'écrasait de nouveau contre la terre malmené. Et même le froid frais que lui apportait l'eau ruisselante ne semblait pas le mouvoir. Et son immobilité était si mouvante que l'on se perdait dans le blanc ondoyant de son pelage. Parfois, il me mors mes veines pulsantes, me hurle dans ma gorge serré, me tord mes poumons intoxiqués, me déchire mes muscles flasques, me craquèle les os et caresse délicatement mes yeux en les remplissant de larmes. Au début, c'est juste acidulé puis l'amer me brûlent la langue comme un acide. Au début, je ne bois que des larmes salés et puis, il décape comme la vodka. Mes boyaux se tordent de douleurs et je n'ai qu'une envie : aller recracher cette Merd* dans la connerie redoutable d'où elle vient. Les émotions, ça ne se rejettent pas alors subissons ensemble. Il me souris, il me bat. J'imagine bien parfois les anges sauter du ciel. J'imagine bien leur sourires avant de partir, leurs regards en coin sur leur monde de parfaite beauté et de bonheur absolu. Je vois leurs yeux basculer sur le bas, leur bras ne tentant pas de ralentir la chute. Je ressens leur présence tomber dans notre pourriture. Je prévois leur chute douce, délicate et fracassante. Et je vois leur yeux se poser sur notre désastre. Bienvenue en dessous du ciel. C'est repartie, mes genoux s'éraflent contre ses ongles déchirants. Je concevoit, je vois la suite en avance. Je me vois repartir en avant puis retomber au plus bas. Les anges sourissent même après leur chute, quels personnes formidables. Moi, quand je tombe, je ne ris jamais. Moi, quand je vole, je souris toujours. Quand je chute, les autres me paraissent tellement fort, beaux et loin que je m'en abime les yeux. Quand je suis haut, ils sont juste près de moi, et ça me suffit. J'ai mal, il écorche mes cuisses. Il pleut toujours. Le froid contracte encore l'air. Aujourd'hui, il est bien bas. |
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