* Attrape mœurs [Distressing]

Toute mon attention dévouée et idolâtre à la personne qui m'est cher et répondra;
car moi aussi je t'aime. <3

" Venez voir la vie,
par ici les amis,
enfants,
dames et mendiants,
venez libérer,
l'astreint de vos pêchers. "

Je ne savais pas trop vivre, alors j'ai pris pied droit et gauche en main, avancé, à perte et loin, avancé, anhélé de cette envie fugace de me reposer. Mon cœur est bien lent à le détente, excuse le, ne t'en fais pas, doucement, je retient ma respiration, je me rapproche et me fond, me colle avec lenteur sur ton torse, ton ventre, tes courbes. mes mains placides recherchent, trouve et se délecte de tes hanches. J'embrasserais ton cou jusque la nuit prenne forme, puis on se taira, tu verras, doucement.

L'étalon s'avance, ses as semblants bien moins sûrs qu'au bien début de cette nouvelle vie.
Qui est-on pour croire encore aux enfantes douces et complexes de la vie ? Il ne croyait qu'en elle, et ça suffisait. Son esprit perturbé se courba d'aliments, sa tête échevelée se releva dans l'air soupesant. Les yeux dans un vide à peine lointain, les crins battant contre sa souple encolure, il s'engage avec prestance dans la cheminée.
Aujourd'hui il se doit de la voir, la rejoindre, couper de son regard l'étendu de son cœur en fleur.
Trop longtemps, C'est ce qui est, il n'attendra pas plus, crèvera s'il le faut, mais la verra selon les cas.
Approche de ce pas,
tant de choses à te dire.

C'est moi qui t'idolâtre, mon amour ♥

Pourquoi ce pyjama est sale. Qui l'a utilisé ?
Je ne sais pas Maman.
Ce n'est pas toi Eddy ? Ce n'est pas toi Emma ?
Non Maman.
J'en conclus qu'il y a ici un fantôme des pyjamas.
Fort bien fort bien.

"Je n'ai pas trop peur, enfin, pas comme ça."

Je collerais ma bouche à ton oreille, les étoiles papillonneront à tourment, si tu sais, si, je t'assure ma douce et belle, tu sais tout cela aussi bien que moi.
Je crierais un peu tard dans la nuit, comme je t'aime et comme j'ai besoin de toi, comme ça, un peu plus près, voilà, juste là.
Je crierais si longtemps comme ça, te berçant dans mes bras, ma tête appuyée sur la tienne.
Oh tu sais comme je t'aime,
si tu sais,
tout aussi bien que moi.

L'air se remplie de cette odeur tellement esquisse, tellement lourde de beautés et suaves délectations, elle se remplie comme explose ses poumons et tout son être alors, si doux être, si bel être qu'il incarne sans pêchers. L'encolure fourvoyée, muet, en désir et languissant, ses muscles tremblent, ses oreilles s'affrètent, il regarde au loin un peu comme ça, regarde loin et loin un peu ainsi aussi.
La posture noire se découvre, les forme l'inhibe de tout autre pensées, comment parler du ressenti tellement il est grand, vous savez, si long et perpétuel, il ne pouvait pas.
La gorge, elle, se noue d'émotions fugaces et sauvages, il avance, si peu mais tant, là près, tout près d'elle.
Ne dis rien, laisse le temps, laisse moi te bercer un peu comme ça de mon souffle chaud, juste là contre ta gorge, juste là, voilà.
Il se colle à elle, si vite et si prompte, se serre au sceau éternel et battant de milles histoires, si belle et douce, si douce et noire.
Archevêque de l'être,
douceur plantule et lisée, oh belle;
tout simplement toi.

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